Il s’agit du huitième épisode de la franchise Star Wars en termes de chronologie, et du troisième long métrage produit par Lucasfilm depuis son rachat par The Walt Disney Company en 2012. J. J. Abrams, réalisateur du film précédent (selon la chronologie), est désormais producteur délégué. Il s’agit du premier film de la saga à reprendre là où l’épisode précédent s’est terminé, les autres épisodes étant habituellement espacés de plusieurs années.
Je n’en dit pas plus, je vous invite à aller le voir … tout simplement !
Il y a déjà 1 semaine, disparaissait des écrants le dernier film controversé de Luc Besson (que j’ai regardé dès sa sortie, bien évidemment).
En effet, ce film a reçu de nombreuses mauvaises critiques, principalement « outre-atlantique »… et pourtant, de tous ses films, mes préférés sont les suivants :
Il y aurait bien des choses à raconter sur ce film de science-fiction que j’ai bien aprécié … à commencer par le souvenir des bandes dessinées que je lisais lorsque j’étais enfant !
(Nota : Avec le temps, nous bonifions souvent ce souvenir, jusqu’à le fantasmer).
C’était en 1967. Né dans l’esprit de Pierre Christin et sous les pinceaux de Jean-Claude Mézières, l’agent spatio-temporel Valérian apparaissait pour la première fois dans les pages du magazine Pilote. Rapidement devenu une figure emblématique du journal, autant que son acolyte Laureline, qui a pris année après année de plus en plus d’importance …
Valérian et la Cité des milles planètes, l’adaptation par Luc Besson de l’œuvre de Jean-Claude Mézières et Pierre Christin, a débarqué en salle ce 26 juillet. C’est l’occasion de revenir sur les origines de cette BD pionnière dans le genre de la science-fiction, mais également sur l’influence qu’elle a pu exercer sur le cinéma américain (mais pas seulement).
En brassant un imaginaire et des réflexions avant-gardistes, Valérian et Laureline a marqué de nombreux créateurs qui semblent avoir puisé dans la BD française pour développer leurs univers. C’est le cas notamment d’un certain George Lucas avec Star Wars. Toutefois, cette influence doit être analysée avec prudence, malgré les nombreuses comparaisons qui fleurissent sur le web. Jusqu’à quel point Valérian a influencé le cinéma de science-fiction ?
Le film, dont le budget est estimé à 197 millions d’euros — ce qui en fait le long-métrage français le plus cher de l’histoire — fait office de seul blockbuster hexagonal prêt à s’attaquer aux salles du monde entier.
Valérian et la Cité des milles planètes a connu une exploitation compliquée aux USA, où il n’a pas réussi le pari de s’imposer parmi le flot de blockbusters américains.
Chez Besson, les héroïnes sont toujours mises en avant, j’ai du mal à comprendre pourquoi il n’a pas osé changer son titre en Valérian et Laureline… Et pour mieux nous perdre, le titre du film n’a que peu de rapport avec le deuxième album, l’empire des 1000 planètes. Voilà pour le contexte, mais le film commence par parler de l’histoire d’une base Alpha … Et de la destruction de la planète Myul, planète où les habitants vivent en harmonie avec la nature, paisiblement, jusqu’au jour où … (Nous voilà donc embarqué dans un space opéra à la française qui rappelle évidemment des grandes figures du genre, comme Star Wars, mais aussi le Cinquième élément, ainsi qu’Avatar.):
Une force obscure menace Alpha, la « Cité des Mille Planètes » sur laquelle cohabitaient en bonne intelligence toutes les espèces. Mandatés par le ministère de la Défense, les agents Valérian et Laureline sont appelés à la rescousse. Tout est dans le spectaculaire, la découverte des différents décors et des créatures imaginaires, des Shingouz aux Pearls en passant par la danse de Rihanna. Laisser vous happer par les effets visuels en vous rappelant qu’au départ, tout a été filmé à Saint-Denis !
Eh oui, en effet, la création est rarement « originale » et qu’elle procède le plus souvent par réutilisation de contenus préexistants (cf. le documentaire Everything Is A Remix de Kirby Ferguson sorti en 2010 & le présent billet, qui puise volontairement de nombreux extraits dans les diverses sources citées plus bas afin d’en produire une petite synthèse).
Valérian, le film de Luc Besson, nous apporte au moins trois informations à propos du futur. Les deux premières sont des bonnes nouvelles : d’une part, l’espace peut être un lieu de collaboration pour l’humanité et, surtout, l’humanité survivra à la crise écologique qu’elle traverse aujourd’hui. La troisième nouvelle est plus anecdotique : l’humanité devenue spatiale reste férue de shopping…
L’épisode 7 est sortie en vidéo il y a 1 mois déjà, j’en profite donc pour vous faire découvrir quelques publications récentes de musiciennes que j’apprécie :
Comme vous le savez, une nouvelle série TV Star Trek sera diffusée à partir de janvier 2017 (celle-ci ne sera pas liée au troisième volet de la trilogie issue du reboot initié en , Star Trek Beyond (le treizième film de l’univers Star Trek), qui doit sortir à l’été 2016 & célébrer les 50 ans de la saga):
Dans l’univers Star Trek, l’humanité développe le voyage spatial à vitesse supraluminique, grâce à un moteur à distorsion, à la suite d’une période post-apocalyptique du milieu du xxie siècle (voir le Jour du Premier Contact). Plus tard, l’homme s’unit à d’autres espèces intelligentes de la galaxie pour former la Fédération des planètes unies. À la suite d’une intervention extraterrestre, et grâce à la science, l’humanité surmonte largement ses nombreux vices et faiblesses terrestres, au xxiiie siècle. Les histoires de Star Trek dépeignent souvent les aventures d’êtres humains et d’espèces extra-terrestres qui servent dans Starfleet, ainsi que les nombreux contacts de ceux-ci avec d’autres civilisations.
Les protagonistes, dont les idéaux sont parfois imparfaitement appliqués aux dilemmes présentés dans la série, sont essentiellement altruistes. Les conflits et les dimensions politiques de Star Trek forment des allégories pour des réalités culturelles contemporaines ; la série télévisée originale de Star Trek aborde les questions des années 1960, tout comme, plus tard, des séries dérivées ont reflété des questions de leurs époques respectives. Les problèmes soulevés dans les différentes séries sont : la guerre et la paix, l’autoritarisme, l’impérialisme classique, la lutte des classes, l’eugénisme, la géopolitique, le racisme, les droits de l’homme, le sexisme, le féminisme et le rôle de la technologie.
Il dépeint un futur optimiste, utopique, dans lequel l’humanité a éradiqué la maladie, le racisme, la pauvreté, l’intolérance et la guerre sur Terre. Elle s’est également unie à d’autres espèces intelligentes de la galaxie. Les personnages explorent l’espace, à la recherche de nouveaux mondes et de nouvelles civilisations et s’aventurent « là où aucun homme n’est jamais allé ».
« À l’écran », cette saga est donc à ce jour constituée de :
* Cinq séries
Star Trek ou Patrouille du cosmos (appelée parfois en anglais Star Trek : The Original Series, TOS ou Star Trek Classic) (1966-1969)
…la quatrième, datant de la même époque, réalisée par Snubby J :
D’autres vidéos du « même genre » suivront prochainement…
Bonnes découvertes !
& pour ceux qui ne connaissent pas
L’univers de Star Wars se déroule dans une galaxie qui se fait le théâtre d’affrontements entre les Chevaliers Jedi et les Seigneurs noirs des Sith, personnes sensibles à la Force, un champ énergétique mystérieux leur procurant des pouvoirs psychiques. Les Jedi maîtrisent le Côté lumineux de la Force, pouvoir bénéfique et défensif, pour maintenir la paix dans la galaxie. Les Sith utilisent le Côté obscur, pouvoir nuisible et destructeur, pour leurs usages personnels et pour dominer la galaxie.
Pour amener la paix, une République galactique a été fondée avec pour capitale la planète Coruscant. Mais, tout au long de son existence, la République est secouée par des sécessions et des guerres.
Pour ceux qui souhaite découvrir ou revoir cette saga , plusieurs possibilités vous sont proposées dans l’article suivant (selon votre cas):
Le 16 décembre 2015 sortira enfin au cinéma « Star Wars : The Force Awakens », 32 ans après la fête donnée dans le village des Ewoks du « Retour du Jedi ». Mais dans quel ordre faut-il revoir les deux trilogies précédentes pour se rafraîchir la mémoire ? Faut-il suivre l’ordre chronologique de sortie au cinéma ou l’ordre de l’histoire ? Ni l’un ni l’autre. Découvrez l’ « Ordre à la machette » inventé pour réconcilier les deux et redonner de l’intérêt à la prélogie. [Lire la suite]
Le Prophète est un livre du poètelibanaisKhalil Gibran (1883–1931) publié en 1923 en anglais et qui est devenu un immense succès international traduit dans plus de quarante langues. L’ouvrage combine les sources orientales et occidentales du mysticisme et présente sous une forme poétique questions et réponses sur les thèmes les plus divers posées à un sage qui s’apprête à quitter la ville d’Orphalese où il habitait.
Écrit en anglais, Le Prophète est une œuvre poétique faite d’aphorismes et de paraboles, livrés par un prophète en exil sur le point de partir.
Aux grandes questions de la vie, celui-ci livre au peuple qui l’a accueilli pendant douze ans des réponses simples et pénétrantes. Des thèmes universels sont abordés, mais le fil conducteur reste l’amour. Ainsi est-il dit sur le mariage « Emplissez chacun la coupe de l’autre, mais ne buvez pas à la même coupe ». C’est ainsi que Le Prophète est parfois lu à l’occasion de mariages, essentiellement aux États-Unis.
À côté des grandes questions de la vie pratique, comme le mariage ou les enfants, sont abordés la connaissance de soi et la religion, conçue comme universelle.
Gibran Khalil Gibran est un poète et peintrelibanais, né le 6 janvier 1883 à Bcharré au Liban et mort le 10 avril 1931 à New York. Il a séjourné en Europe et passé la majeure partie de sa vie aux États-Unis. Publié en 1923 et composé de vingt-six textes poétiques, son recueil Le Prophète est devenu particulièrement populaire pendant les années 1960 dans le courant de la contre-culture et les mouvements New Age. On a comparé Gibran à William Blake, et il est appelé par l’écrivain Alexandre Najjar le « Victor Hugo libanais ».
James Bond, également connu par son matricule 007, est un personnage de fiction créé en 1952 par l’écrivain et ancien espion britannique Ian Fleming dans le roman Espions, faites vos jeux (Casino Royale). Ian Fleming s’est principalement inspiré d’un agent double serbe travaillant pour les nazis et les Britanniques du nom de Dusko Popov qui à l’origine était un agent du Royaume de Yougoslavie.
Depuis 1962, 25 adaptations cinématographiques ont vu le jour, dont 23 pour la série de films d’EON Productions. James Bond y est incarné par des acteurs successifs dont le premier a été Sean Connery. La production de ces films, qui se poursuit encore aujourd’hui avec Daniel Craig dans le rôle de 007, constitue la plus longue saga de l’histoire du cinéma.
Quelques productions indépendantes mais officielles mettant en scène James Bond ont également été tournées. L’agent secret a été décliné en bande dessinée, en jeu vidéo, en jeu de rôle et en jouets.